La magie de Ray-Ban Aviator

Ce mois Ray-Ban le leader dans le monde de créations des lunettes lance sa nouvelle collection des lunettes de soleil Ray-Ban Aviator .

Apple iPad 2

Un nouveau design plus fin et plus léger, 2 caméras, un processeur Apple A5 dual-core, un gyroscope, et même un ingénieux système magnétique pour les protections d’écran Smart Cover : l’iPad 2 est là !

Le stress au travail....

Au travail, vous vous sentez fatigué, irritable, vous avez perdu de votre concentration ou de votre enthousiasme, vous multipliez les petits problèmes de santé… Attention, vous souffrez peut-être de stress. D’après un sondage CSA (juillet 2000), “trois salariés sur quatre se disent concernés” par le stress, en particulier en raison d’une surcharge de travail, de délais difficiles à respecter, d’exigences de plus en plus fortes de clients ou une cadence trop rapide.

mardi 29 mars 2011

Minceur

Vrai / Faux sur les régimes protéines?


Après une forte progression des régimes protéines dans les années 70, ils rencontrent actuellement de vives critiques notamment à cause de leurs faibles apports en glucides. Afin de rendre plus clairs certains a priori sur cette diet, Insudiet n°1 en France des régimes protéines et pionnière dans la prise en charge globale du sur poids fait un point.
Découvrez nos vrais/faux. 
Vrai : si vous n'avez aucun suivi médical en amont et en aval !

Faux : le maintien de la masse musculaire au cours d'un régime protéiné encadré permet de prévenir l'effet yo-yo. Dans un régime hypocalorique classique, la perte de masse musculaire augment les risques sur la santé et amplifie l'effet yo-yo.
La reprise de poids s'explique par 2 facteurs qui sont "nutritionnel" et "comportemental".
Le premier correspond à une reprise des anciennes habitudes alimentaires entraînant un déséquilibre au niveau de la balance énergétiques.
Le second coïncide avec le manque de la prise de conscience des causes de la prise de poids, la mauvaise gestion des émotions, la conservation des mauvaises attitudes.
Avec une bonne hygiène de vie et un accompagnement psycho-comportemental, le risque de reprise de poids est limité.
Seule une prise en charge globale comportant la nutrition et l'accompagnement favorise une perte de poids durable avec 4 règles :
- Avoir appris à gérer ses émotions et son comportement lors de sa démarche de perte de poids.
- Poursuivre l'accompagnement pour maintenir sa motivation
- Modifier ses habitudes alimentaires
- Conserver une bonne hygiène de vie par une activité physique régulière.


Les régimes protéinés sont trop restrictifs et dangereux pour la santé

Vrai : Si la diet est réalisée sans aucun suivi médical, et si l'alimentation n'est pas assez riche en vitamines et minéraux : gare aux carences ! Et qui dit carences dit baisse de tension, constipation, chutes de cheveux et crampes musculaires...

Faux : Si l'alimentation est enrichie en nutriments essentiels et si les apports de protéines sont intégrés dans un programme médicalisé.

lundi 28 mars 2011

Ados : quand leur parler de contraception ?

Si vos enfants savent que vous approuvez la prise d'un contraceptif, ils auront des relations sexuelles plus tôt que les autres. Mais ne vous affolez pas ! Ils seront également plus prudents, et utiliserons effectivement un moyen de contraception. Ces résultats issus d'une étude américaine, prouvent, si besoin était, que le dialogue parents-enfants reste primordial.

Ça y est, le petit bout de chou a grandi. Il est maintenant en âge de fréquenter les filles (ou les garçons). Vous lui avez déjà parlé sexualité mais faut-il lui parler contraception ? Cruel dilemme : "si je lui en parle, ne va-t-il pas prendre cela comme un accord implicite ? Mais si je ne lui en parle pas, ne va-t-il pas prendre des risques ?".

Les mieux informés sont les plus actifs…

Une étude américaine a tenté de répondre à cette question. Ses résultats font pencher la balance du côté du dialogue… Ces travaux ont porté sur plus de 10 000 collégiens et lycéens. Un questionnaire leur avait été soumis. Il portait notamment sur leurs relations avec leurs parents. Un an après, les étudiants devaient remplir un autre questionnaire. Cette seconde version s'intéressait cette fois aux premières relations sexuelles et aux moyens de protection utilisés.

En intégrant toutes les données, les chercheurs ont dégagé une conclusion : lorsque les ados pensent que leurs parents, notamment la mère, approuvent l'usage de moyens de contraceptions, ils ont leurs premières relations sexuelles plus tôt.

Alors, les parents doivent-ils éviter de parler contraception à leurs enfants ? Le dialogue a-t-il finalement l'effet inverse de celui recherché : lié à une perte de la virginité précoce, entraîne-t-il des risques plus importants de grossesses non désirées ou de Maladies sexuellement transmissibles ?

Parler contraception

Au contraire, les études plaident en faveur d'un dialogue des parents visant à informer sur la pilule et autres préservatifs. En effet, ces mêmes ados, qui avaient des relations sexuelles plus précoces, étaient également ceux qui utilisaient le plus de contraceptifs. Ainsi, l'autorisation parentale se traduit effectivement par l'utilisation de moyens de protection. Le bilan des deux alternatives est donc sans appel : d'un côté, faire comprendre à son enfant qu'il peut utiliser un contraceptif, sachant qu'il aura peut-être des rapports sexuels plus tôt. De l'autre, ne rien lui dire et augmenter le risque de rapports non protégés…

Privilégier de bonnes relations

Les mêmes chercheurs avaient déjà publié une étude plus globale sur les liens parent-enfant et les relations sexuelles. Basée sur la même population de collégiens et lycéens, les enquêteurs avaient également interrogé les mères. Il en ressortait que plus les relations familiales étaient bonnes, moins les adolescents commençaient tôt leur vie sexuelle.

Chez ceux qui avaient déjà des relations, l'usage de contraceptifs était plus répandu lorsque le dialogue avec les parents se passait bien. Curieusement, les adolescents, pourtant de nature rebelle, semblaient prendre en compte l'avis de leurs parents : ceux dont la mère ne voyait pas de manière favorable l'entrée dans la vie sexuelle avaient plus tard que les autres leurs premiers rapports.

Le dialogue avant tout

Alors, faut-il oui ou non aborder avec son enfant les problèmes de relations sexuelles et de contraception ? Pour ses parents, l'adolescent est toujours trop jeune pour avoir des rapports.

Pourtant, il est certainement plus responsable de reconnaître que son enfant grandit et de se préparer à toutes les éventualités. L'important est peut-être de lui donner les clés pour qu'il sache prendre, de lui-même, les bonnes décisions. Cela passe par un dialogue, notamment sur les moyens de contraception. Bien sûr, cela ne doit pas devenir une intrusion dans sa vie privée ou un étalage de la vôtre !

dimanche 27 mars 2011

Chaque seconde


Chaque seconde qui passe
Ton amour prend de plus en plus une grande place
Dans mon petit et précieux cœur
Et pour cela je sens cette peur
Qui ne me laisse plus vivre en paix
Et qui a bloqué et emprisonné mes pensées et mes faits
Car,  maintenant, c'est pour toi je vis 
Pour toi je ris
Pour toi je pleure
Et que pour toi je meurs
Vraiment je ne sais plus rien
Si ce sentiment est du mal ou bien du bien.

Par Maryem Mrghich 


Que dois-je faire?


Comment sera-t-elle ma vie depuis aujourd'hui ?
Comment puis-je dormir la nuit ?
Comment puis-je oublier le passé ?
Et comment puis-je soigner mon âme blessé ?
Oui je viens de comprendre ce qu'il sent 
Il ne m'aime plus et sa vie continuera avec moi ou sans 
Pour lui je suis qu'une simple amie 
A qui il a l'habitude de voir le matin et à midi
Mais, pour moi, il est plus que cela
Il est ma vie, ma joie, mon roi et toutes les choses qui me vont
Pour moi, il est le jour, la nuit et tous les mois
Pour moi, il est mon chagrin, mes rêves et mon foie
Mais,  quoi faire si le destin nous sépare
Toi d'un part et moi de l'autre part ?

Par Maryem Mrghich 

mercredi 23 mars 2011

Bouger après un cancer du sein !

L'activité physique est bénéfique contre le surpoids et pour sa santé cardiovasculaire. Mais elle l'est également après un cancer du sein, en réduisant le risque de récidives. Pour connaître les pratiques sportives des femmes guéries d'un tel cancer, la Mutualité Française et l'Association française de l'après cancer du sein (Afacs) lancent la première enquête nationale intitulée "Bougez contre le cancer du sein".


On sait que l'activité physique est bonne pour la santé. On sait également que sa pratique régulière prévient le risque de cancer du sein. Ce qu'on ignorait en revanche, c'est qu'elle est aussi bénéfique chez les femmes ayant survécu à un cancer sein.
L'activité physique réduit le risque de récidive du cancer du sein 
Selon les estimations, une femme sur 8 sera atteinte d'un cancer du sein au cours de sa vie. Grâce aux progrès médicaux, la plupart peuvent être guéris. Mais les femmes n'en ressortent pas forcément indemnes, ainsi les médecins s'intéressent de plus en plus à la qualité de vie dans l'après-cancer. "L'activité physique est probablement l'arme la plus efficace pour lutter contre les effets négatifs dont on parle peu : la fatigue chronique, l'anxiété et la prise de poids", a expliqué le Dr Christian Jamin, endocrinologue et président de l'Association française de l'après cancer du sein (Afacs). Selon ce spécialiste, on commence tout juste à s'apercevoir que "l'activité physique réduit la survenue du cancer du sein et qu'il existe une corrélation entre l'intensité de l'activité physique et la prévalence du cancer du sein". "Mais ce qui est moins connu, c'est le fait que l'activité physique diminue le risque de récidive et la mortalité par cancer du sein dans des proportions non négligeables", ajoute-t-il.

Des études ont en effet montré que l'activité physique démarrée après un cancer du sein réduisait de 25 % le risque de récidive (en diminuant le surpoids notamment), diminuait de 30 % celui de la mortalité, et améliorait la qualité de vie en atténuant considérablement la fatigue. A l'origine de ce mécanisme, on pense que le tissu adipeux sécrète des hormones bénéfiques au développement du cancer. C'est en jouant sur cet équilibre hormonal que l'exercice physique et la perte de poids auraient un effet bénéfique.
Améliorer la qualité de vie après un cancer du sein
Forte de constat, la Mutualité Française et l'Afacs ont lancé, le 14 septembre 2010, une grande enquête baptisée "Bougez contre le cancer du sein" parrainée par la championne Christine Arron, détentrice actuelle du record d'Europe du 100 m. Ouverte jusqu'en mars 2011, cette étude doit juger de la pratique sportive des femmes après un cancer du sein, et identifier les freins au sport, tant de leur part que de celles des médecins. Réalisée en partenariat avec le service de Médecine du sport du CHU de Clermont-Ferrand et le service médical de l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (Insep), cette enquête vise à identifier l'activité physique après un cancer du sein auprès des femmes mais également de leurs médecins.
Le volet consacré aux femmes est accessible via le site Internet www.bougezcontrelecancerdusein.fr, ou par téléphone (39 35, prix d'un appel local à partir d'un poste fixe). Il invite les femmes à remplir un questionnaire portant sur leur âge, les traitements qu'elles ont reçus, leur mode de vie, le temps consacré à l'activité physique, les craintes ressenties à l'idée de reprendre une pratique sportive et l'attitude générale du corps médical lorsqu'elles ont évoqué cette idée.
Les enquêteurs espèrent pouvoir préciser l'influence qu'exercent les professionnels de santé sur la reprise d'une activité physique. Un volet leur est d'ailleurs réservé, afin de connaître leurs propres pratiques sportives, les recommandations en matière d'activité physique qu'ils font à leurs patientes guéries d'un cancer du sein, ainsi que des éléments susceptibles de freiner leur prescription.

"Le travail statistique sera de chercher la corrélation entre leur discours et l'activité physique des femmes, et de voir si leurs conseils sont modulés par leur propres mode de vie", a précisé le Pr Martine Duclos, chef du service de médecine du sport au CHU de Clermont-Ferrand, en charge de l'analyse des données. Cette "photographie" des femmes après cancer du sein a permettra également de voir ce qui peut avoir une influence sur la qualité de vie après une telle maladie.

Garder une vie quotidienne active
Pour le Dr Anne Lesur, onco-sénologue et vice-président de l'Afacs, cette enquête permettra également de combattre certaines idées reçues.
La première consiste à croire que "comme je suis malade, je ne dois plus rien faire". Or "il faut garder une vie quotidienne un peu active", conseille-t-elle.
La seconde associe souvent inconsciemment la perte de poids à une mauvaise santé et, dans le cas d'un cancer, à une rechute. "On sait désormais que le surpoids est un des facteurs les plus importants dans l'évolution péjorative du cancer du sein" ; perdre du poids joue donc un rôle majeur dans l'amélioration des chances de survie sans maladie, a précisé le médecin.

Pas question pour autant de culpabiliser les femmes qui n'ont jamais été sportive. L'activité physique "va des tâches de la vie quotidienne, comme le ménage, la marche pour se rendre à son travail ou les escaliers que l'on monte, à l'autre extrême qui est le sport de haut niveau", précise le Dr Jamin. La quantité d'activité physique à partir de laquelle des effets sur la survie sont observés correspond à 30 minutes de marche à bon pas, 4 à 5 fois par semaine et ceci quel que soit le niveau d'activité physique avant le diagnostic. Il n'est pas davantage question de culpabiliser celles qui ont un bon coup de fourchette. Pour le Dr Lesur, "l'idée est plutôt d'inciter les femmes à reprendre de bonnes résolutions de façon à ce qu'elles reprennent la main sur leur vie".


vendredi 18 mars 2011

Coup de barre ou grosse fatigue ?

Fatigué, vanné, épuisé. Coups de barre à répétitions, manque d'énergie. Occasionnelle ou persistante, la fatigue peut parfois être vaincue. Des traitements et des solutions existent.


Mais attention : il y a fatigue et fatigue ! Il faut impérativement distinguer une fatigue occasionnelle et de courte durée dont vous connaissez le motif (charge de travail supplémentaire, surmenage familial passager…), d'une fatigue intense, qui s'installe et persiste.

Mieux résister à la fatigue occasionnelle

Votre patron vient de vous confier un dossier chaud dont le rapport final est à remettre dans deux jours. Promotion garantie à l'appui. En dépit de la réduction du temps de travail, vous relevez le défi et ne comptez plus vos heures. Pour vous aider à passer ce cap délicat et à lutter contre les coups de barre à répétitions, quelques stimulants et autres cocktails vitaminés devraient suffire. Café et thé vont vous fournir un bon coup de fouet, mais à condition de réserver ces boissons à la matinée ou au tout début de l'après-midi.

Passée une certaine heure, ces nectars risquent de vous empêcher totalement de dormir. Et vos quelques heures de sommeil réparateur, même si elles ne sont pas assez nombreuses, restent sacrées. Quelques petits carrés de chocolat peuvent aussi faire des merveilles. Riche en phényléthylamine, une molécule aux propriétés psychostimulantes reconnues, le chocolat contient également de la caféine qui augmente votre résistance à la fatigue, et de la théobromine, un stimulant du système nerveux et cérébral. De plus, sa richesse en magnésium (140 mg/100 g), en potassium (400 mg/100g), en phosphore (230mg/100g), en calcium (220mg/100g pour le chocolat au lait), et en fer (2,9 mg) en font un excellent aliment régénérateur.

Le meilleur allié : votre alimentation !

Dans ces moments de surmenage occasionnel, évitez de sauter des repas, et tentez de préserver une alimentation équilibrée. Les fruits frais, très riches en vitamines C, doivent avoir une place prépondérante, ainsi que les légumes et les céréales, véritables aliments énergétiques.

Si ça ne suffit pas, demandez conseil à votre pharmacien. Une supplémentation en vitamine C, un cocktail de vitamines, oligo-éléments et sels minéraux, ou un anti-asthénique associant glucuronamide, vitamine C et caféine peut vous être conseillé mais pour une courte durée seulement.

Surtout, proscrivez alcool et tabac ! Ces stimulants ont une efficacité très ponctuelle. En revanche, ils contribuent à dégrader très vite les vitamines dans l'organisme. Dès le coup de bourre terminé, optez pour une bonne hygiène de vie : alimentation variée et équilibrée, sommeil de qualité et relaxation.

Quand consulter ?

Si la fatigue s'installe, il est impératif de consulter votre médecin. Il est le seul apte à poser un diagnostic et à évaluer les causes de votre fatigue qui peuvent être multiples et souvent cacher une maladie.

Dans ce cas, l'automédication à grands renforts de stimulants et de cocktails vitaminés n'est jamais une bonne solution. Elle risque de retarder la mise en route d'un traitement adapté à votre cas. La plupart du temps, votre médecin vous prescrira un bilan sanguin complet. Si ce bilan ne traduit ni infection, ni pathologie chronique, votre médecin continuera son enquête de détective qui peut aboutir à la mise en évidence d'une dépression ou d'un syndrome de fatigue chronique.

Dans tous les cas, lui seul est capable de vous prescrire le bon traitement qui saura lutter contre la maladie diagnostiquée et la fatigue associée.
 

jeudi 17 mars 2011

Les femmes, grandes victimes de la dépression



Qui sont les personnes les plus touchées par la dépression ? Sans conteste, il s'agit des femmes. Elles sont deux fois plus exposées que les hommes aux épisodes dépressifs. Un risque majoré si elles sont divorcées ou chômeuses. Comment expliquer cette inégalité des sexes ?

Qui sont les personnes les plus touchées par la dépression ? Une grande étude de la Direction de la Recherche des Etudes de l'Evaluation et des Statistiques (DREES), a tenté de répondre à cette question. Résultat : les femmes arrivent en tête toutes catégories.

Les femmes plus touchées par la dépression

Les principales victimes de la dépression sont les femmes. Les différentes enquêtes menées en France montrent en effet que pour deux hommes touchés par un épisode dépressif, il y a entre 3 et 4 femmes. Et cela n'est pas lié aux conditions de vie spécifiques des femmes (salaires moins élevés, espérance de vie plus importante...). Le constat est vrai même si l'on ajuste en fonction des facteurs de risques : à âge égal, situation professionnelle équivalente et niveau de diplôme identique, une femme a deux fois plus de risque de faire une dépression qu'un homme.

Les raisons de la dépression féminine

Quelles sont les raisons de cette fragilité féminine ? D'abord, il faut souligner que l'écart entre hommes et femmes est certainement faussé : les hommes sont en réalité plus touchés par la dépression que ne le révèlent les chiffres. Le syndrome dépressif est sous-évalué chez ces messieurs, qui vont moins facilement reconnaître une dépression et vont moins consulter pour ce motif. Mais même en considérant ce biais, force est de constater qu'il reste une vulnérabilité plus importante chez les femmes.

Le couple protège de la dépression

Autre inégalité révélée par les enquêtes : le couple est un élément protecteur contre la dépression. Avoir une épaule contre laquelle s'appuyer permet en effet d'affronter les orages. On voit ainsi une évolution du risque en fonction de la situation maritale : une personne mariée a moins de chance de faire une dépression qu'une personne simplement en couple, qui a elle-même moins de risques qu'une personne célibataire. Et au sein des gens seuls, ceux qui ont le plus de risques de faire un épisode dépressif majeur sont les divorcés ou les veufs. Car une séparation multiplie par deux à trois les cas de dépression. A noter : les hommes sont plutôt affectés par le veuvage, et les femmes plus par la séparation.

Le chômage : un facteur de risque dépressif

Sans surprise, l'inactivité est aussi un facteur de risque important de dépression. Au moins 16 % des chômeurs ont ainsi connu un épisode dépressif. Les hommes sont les plus affectés par ce manque de travail. Et le niveau de revenu ne protège pas des problèmes dépressifs : quelle que soit leur catégorie socioprofessionnelle, les chômeurs sont autant touchés par la perte d'un emploi.

Femmes, chômeurs et personnes divorcées sont ainsi les plus touchés par la dépression. C'est chez eux que la prévention et le suivi doivent être les plus forts. Pour éviter la spirale descendante du syndrome dépressif.

Des smoothies plutôt que du jus



C'est souvent la question qu'on se pose devant l'abondance des produits dérivés de fruits désormais disponible. Les smoothies apportent-ils plus de nutriments, de vitamines ? Une étude vient de montrer la supériorité des smoothies de pomme comparés aux jus et cidres.

La pomme contient des polyphénols, des antioxydants aux effets bénéfiques sur la santé. Leur biodisponibilité est-elle meilleure s’ils sont apportés dans un smoothie aux pommes (composé de 40% de purée de pomme et de 60% de jus de pomme), un jus de pomme ou du cidre ?

C’est l’objet de cette étude qui a été réalisée avec 10 sujets ayant subi une iléostomie, mais sains. Ils ont consommé 700 mL de smoothie aux pommes ou de jus de pomme ou de cidre.

Le contenu de leur poche d’iléostomie a été analysé en polyphénol et en acide quinique.
Les concentrations en polyphénols trouvées après consommation de smoothie aux pommes sont plus importantes que celles trouvées après consommation de jus de pomme ou de cidre.

Ces résultats suggèrent que la matrice alimentaire affecte la biodisponibilité des polypyhénols.


Une iléostomie permet de relier l'iléon vers l'extérieur à travers la paroi de l'abdomen par un acte chirurgical. Les matières fécales sont récupérées dans un appareillage spécifique. Une iléostomie peut aussi être nécessaire dans le traitement du cancer du côlon par exemple lorsque le cancer provoque une occlusion intestinale.

mardi 15 mars 2011

Apple iPad 2

Un nouveau design plus fin et plus léger, 2 caméras, un processeur Apple A5 dual-core, un gyroscope, et même un ingénieux système magnétique pour les protections d’écran Smart Cover : l’iPad 2 est là ! Disponible à partir du 11 mars (en même temps qu’iOS 4.3 pour iPad et iPhone), en noir et blanc, Wi-Fi et 3G, avec une capacité de 16, 32 et 64 Go. Prix : à partir de 500 €.




Nanocomposant

Elles occupent déjà le terrain :


La raquettes de tennis (Nanocomposant : nanotubes de carbone)

En plus des traditionnelles fibres de carbone, certaines raquettes contiennent des nanotubes. Cela confère à leur cadre plus de légèreté tout en conservant la rigidité. Car les nanotubes de carbone sont cent fois plus résistants que l'acier et six fois plus légers. C'est pourquoi ils sont très prisés par l'industrie du sport, l'une des premières à les employer, On en trouve aussi dans certains raquettes de badminton, certains clubs et balles de golf, battes de base-ball, crosses de hockey et cadres de vélo ..


 Les peintures et vernis :
 Nanocomposant: Nanoparticules de dioxyde de titane, d'oxyde de silicium, de silice ou de céramique


 Certain revêtements et peintures intègrent désormais des nanoparticules. Cela les rend plus résistants à  l'abrasion et aux rayures et augmente la protection conte les UV et la corrosion. Dans le secteur automobile,  un vernis trois fois plus résistant aux microrayures a été mis au point en utilisant des nanoparticules de  céramique. Depuis 2003, la Mercedes classe M est dotée d'une telle peinture anti-éraflures.

2011 Chevrolet Volt - Du Salon de l'auto à Showroom


En 2007, Chevrolet Volt Concept ébloui, encore plus que General Motors devrait. Pour 2010, la production, cependant, elle doit utiliser des ensembles de composants existants, qui font naturellement intégrer la Volt plus et moins cher à construire. Les modifications donnent également la voiture glisser plus bas, plus d'espace de la cabine, et un cercle de braquage plus court. Le dessinateur des deux véhicules, Bob Boniface, dit que les concept-cars ne sont «pas un contrat avec le grand public» et que le produit commercial est une voiture bien meilleure. Nous avons tendance à s'entendre avec lui. la conception de polarisation peut impressionner, mais perdre des ventes. GM a besoin de cette voiture pour réussir. Donc, nous tous.


Du concept à la production

1 L'encart grille profondément et le pli de la forte baisse des lampes ont été terribles pour l'aérodynamique, et les lampes encastrées ne sont ni adéquats pour l'éclairage, ni juridique.

2 multiples dur changer les lignes de surface sur le devant de la notion tend à confondre et à retarder les molécules d'air venant en sens inverse. Lissage de l'extrémité avant aide aérodynamique et simplifie la production.

3 Saab 99-comme, le pare-brise enveloppant-fente du réservoir a été jugé susceptible de rivaliser avec les plans pour les produits Saab avenir. Mais GM peut vendre Saab de toute façon.

4 La rupture brutale de pare-brise pour le toit a été également considérée comme trop Saab-like, et il a également été aérodynamique indésirables, ainsi que la modification de verre qui coule sans interruption.

5 renflements Big pour les articles surdimensionnés - 21-inch - roues ont été un autre élément de plus en plus un style drag-qui a dû aller à la voiture de production.

6 La grille de forme a été conservée, mais les flux d'air dans le compartiment moteur seulement à travers les fentes périphériques autour de l'écran grille, qui conserve sa texture diamant. La plupart air pénètre dans le pare-chocs.

7 projecteurs devait être plus grand pour un éclairage adéquat, et les enroulant autour de l'extrémité avant laissez marqueurs côté être constituée.

8 Le à nettoyer transparent carénages impossible de la voiture du spectacle ont été remplacés par de tôlerie peintes, qui s'étend visuellement la hauteur de la vitre latérale.

9 Ces roues de 17 pouces ressemblent beaucoup à 21 pouces-unités d'exposition de voitures de l', mais en fait, ils ont été affinées pour réduire la traînée aérodynamique. Les petits détails comptent quand il n'y a pas beaucoup de puissance disponible.

10 Le balayage continu de verre du pare-brise au toit est excellente pour la réduction de la traînée aérodynamique, mais il donne aussi la voiture, plus sûr apparence plus douce, plus souhaitable pour une voiture familiale.

lundi 14 mars 2011

La diète protidique

Le régime hyperprotéique bénéfice d’un succès grandissant. Il est basé sur la consommation de poudres ou de boissons à base de protéines. Mais attention, sachez que les kilos reviennent au galop à l’arrêt de la diète.


Principe : Ce régime à pour but de limiter l’apport en calorie tout en empêchant la fonte musculaire. Dans cette cure, les apports alimentaires sont presque exclusivement à base de protéines (50 à 100 g de protéines par jour, soit 200 à 400 Kilocalories).

Le régime est constitué de poudre ou de boissons diététiques qui contiennent environ 80 % de protéines, très peu de lipides et de glucides. Ils s’accompagnent d’eau à volonté et parfois des suppléments vitaminiques.
Critique : Bien que très hypocalorique, ce régime est supportable au début car les protéines ont un effet anorexigène. Mais il est incompatible avec une activité physique intense. Souvent ces produits ne sont pas équilibrés doivent être accompagnés d’aliments plus "courants" tels des légumes, des fruits, des produits laitiers (laitages, fromages) ou du pain. Selon les produits, des suppléments vitaminiques et minéraux peuvent être nécessaires. Le manque de fibres de ces substituts nécessite parfois de compléter les repas avec des crudités ou de la salade. Enfin il est indispensable de boire beaucoup, afin d’éviter de graves problèmes métaboliques. Vous l’avez compris, il vaut mieux entreprendre ce type de régime aidé d’un suivi médical strict.

L’arrêt du régime pose généralement problème et doit se faire en douceur : souvent les kilos perdus sont regagnés dès l’arrêt de la diète.

 

Faire l’amour c’est bon pour la santé

En plus des sensations intenses qu'ils procurent, les câlins sous la couette seraient bénéfiques pour la santé. Faire l’amour augmenterait l'espérance de vie, préviendrait l’apparition de problèmes cardiaques et même de certains cancers. Quand plaisir rime avec santé…
"Réduisez votre consommation d’alcool, arrêtez de fumer et… faites plus souvent l’amour" ! Tels pourraient être les conseils que vous donnera demain votre médecin. En effet, depuis de nombreuses années différents travaux s’intéressent aux effets sur la santé des rapports sexuels. Et pratiquement tous soulignent les bénéfices de cette activité sur la durée de vie et la prévention de certaines maladies.


Quand le sexe n’envoie pas au ciel…

D'une manière générale, les relations sexuelles régulières feraient baisser le taux de mortalité chez l'homme. Une recherche suédoise de 1981 avait souligné un taux de mortalité plus fort que la moyenne chez les hommes de 70 ans qui avaient cessé depuis plusieurs années leur activité sexuelle. Mais ses bénéfices ne concernent pas que les seniors. Début 1997, une étude britannique a suivi 918 hommes âgés de 45 à 59 ans pendant quatre ans. Elle a démontré que, durant cette période, le taux de mortalité des hommes avec au moins deux relations sexuelles par semaines était deux fois plus bas que le taux de mortalité de ceux qui en avaient moins d'une par mois. Attention, au-delà de deux rapports sexuels, aucune proportionnalité n'a été constaté entre le nombre de rapports sexuels et la baisse du taux de mortalité.

J’y mettrai tout mon coeur

Les vertus thérapeutiques de l'activité sexuelle concernent principalement le cœur. En effet, l’étude britannique précédemment citée souligne une baisse des risques cardiaques liés à la fréquence des relations sexuelles. Ces bienfaits sur le coeur sont également évoqués pour les deux sexes dans des travaux américains publiés en l'an 2003.

Bien sûr, ce bénéfice reste discutable : faire l’amour n’est somme toute qu’un exercice physique, or les bienfaits pour le coeur de l’activité physique sont bien connus ! A chacun son sport…

La petite mort sans la grande…

Evidemment, certains ne manqueront pas d’évoquer les risques d’epectase (décès durant l’orgasme) et citerons l’exemple du président français Félix Faure, mort en 1899 à l’Elysée dans les bras de sa maîtresse…

Qu’ils se rassurent, l’étude américaine citée plus haut3 a évalué les risques d’attaque cardiaque liés à cet exercice particulier. Certes, elle démontre que le risque d’infarctus du myocarde est 2,5 fois plus important durant les deux heures qui suivent une relation sexuelle. Néanmoins, ce risque reste extrêmement faible : l’augmentation du risque d’accident cardiaque est de 0,01 % sur un an pour une fréquence d’une relation sexuelle par semaine.

Orgasme et prostate : même combat ?

Outre d'éventuels effets sur le coeur, faire l'amour pourrait prévenir l'apparition de certains cancers. Ainsi, une étude japonaise de 1990 menée sur cent hommes pendant trois ans aurait démontré une baisse du risque de cancer de la prostate liée à une augmentation de la fréquence des orgasmes. Néanmoins, cette étude dénote également une augmentation du risque en cas d’activité sexuelle soutenue entre 30 et 50 ans…

Cet effet des relations sexuelles sur la prostate à également été étudié sous l’angle de l’abstinence. Ainsi, des recherches américaines de 1981 ont étudié le taux de mortalité lié au cancer de la prostate chez 6 226 prêtres catholiques de l’état de New York (Etats-Unis). Les résultats, cette fois-ci, ne plaident pas en faveur des relations sexuelles : les décès liés au cancer de la prostate étaient deux fois moins élevés chez les prêtres que ceux statistiquement attendus. Les taux de mortalité liés aux cancers colo-rectaux ou pulmonaires étaient également moins élevés.

Aimez-vous les uns les autres

Une autre étude américaine6 de 1996 concernait cette fois-ci 2 573 Soeurs catholiques âgées de 50 à 84 ans. Cette fois-ci, les résultats montraient une augmentation chez les nonnes du taux de mortalité lié aux cancers du sein et de l’appareil génital. Pour les scientifiques, l’explication serait en fait liée à l’absence de grossesses et non à celle de relations sexuelles.
Dans tous les cas, l’hygiène de vie d’un prêtre ou d’une nonne diffère par de nombreux aspects de celle du citoyen moyen. L’abstinence ne saurait évidemment porter toute la responsabilité de ces observations statistiques.

Jeux de main…

Enfin, il ne faut pas oublier les préliminaires, qui seraient eux aussi bon pour la santé. C’est du moins ce que suggère un chercheur australien. D’après lui, la stimulation des tétons chez la femme, en libérant une hormone appelée l’ocytocine, pourrait prévenir l’apparition du cancer du sein. L’étude précise même que l’ocytocine est libérée en grande quantité lors de l’orgasme, et que l’activité sexuelle pourrait donc avoir un rôle protecteur contre le cancer du sein.

D’une manière générale, ces différentes travaux semblent donc indiquer que faire souvent l’amour est réellement bénéfique pour la santé. Néanmoins, si vous décidez de prendre en main votre santé… pensez à vous protéger.




Judo et santé

Entretien avec le docteur Didier Rousseau, médecin des équipes de France de Judo.

Quelles sont les contre-indications à la pratique du Judo ?


Dr Rousseau : Les contre-indications à la pratique du judo sont celles de tout sport en général. Il n’y a pas de contre-indications permanentes spécifiques. Lors de la visite médicale, le médecin s’attache à examiner le rachis ainsi que les articulations périphériques. Par contre, certaines contre-indications peuvent être temporaires : mal de dos, affection cutanée transmissible, blessure…

 Quels sont les bénéfices pour la santé liés à la pratique du Judo ?

Dr Rousseau : La pratique du judo est très physique et sollicite l’ensemble de l’organisme. Ce sport fait travailler les membres de manière homogène. Il développe la qualité gestuelle, la mise en place du schéma corporel, et améliore la perception du corps dans l’espace. La confrontation avec un partenaire, en obligeant à bien connaître l’autre, développe le côté relationnel. Pour beaucoup de parents, le judo est un facteur stabilisant pour les enfants, qui induit un équilibre. La pratique collective semble effectivement réguler la timidité ou au contraire l’hyperactivité des enfants, grâce aux notions d’habillement, de grade, de discipline et de respect. Et il est important pour l’enfant de faire la différence grâce à son propre travail.

Quels sont les traumatismes les plus fréquents ?

Dr Rousseau : Les pathologies dépendent du niveau de pratique. A un haut niveau, les pathologies les plus fréquentes sont les lésions du genou (au niveau du ligament croisé) et de l’épaule. Pour les personnes qui passent leurs grades, on retrouve essentiellement des lésions de l’épaule et des luxations du coude. Il peut apparaître également quelques problèmes de lombalgies. Lorsque la technique est approximative ou qu’il y a un manque d’apprentissage, des pathologies du cou peuvent être rencontrées suite à de chutes. Les problèmes de claquage ou de déchirure sont très rares.

Quelles sont les limites d’âge ?

Dr Rousseau : Les plus jeunes peuvent commencer dès 5 ou 6 ans à faire du " baby judo ", qui permet de mettre en place un apprentissage de l’activité. La pratique du judo ne va être réellement efficace que vers 13 ou 14 ans, lorsque les enfants vont bien maîtriser les différentes techniques. Les compétitions officielles débutent vers 16 ans. Ensuite, on peut pratiquer différentes formes de judo : entraînements à haut niveau énergétique ou séances très techniques, avec toutes les variantes possibles. On peut également se limiter aux techniques fondamentales (katas) ou simuler des compétitions (randori). L’éventail de pratiques fait qu’il n’y a pas d’âge limite supérieur. Il faut juste tenir compte de l’âge physiologique. Il existe des personnes de 75 ans qui font encore du judo.

Quels sont les équipements de protection recommandés ?

Dr Rousseau : Il est interdit de porter quoi que ce soit de rigide qui risquerait de blesser l’adversaire. Il existe des protections articulaires constituées de bandes adhésives élastiques ou des protections contre les chocs directs, tels que les protège-tibias en mousse. Selon les habitudes ou les séquelles de blessures, les judokas peuvent porter des bandes sur les doigts ou les poignets.

                                                                                                                             Prise De Doctissimo

dimanche 13 mars 2011

Nano-monde


Plongée dans une autre dimension :
Un millionième de millimètre. A cette échelle dite nanométrique, la  matière change radicalement de visage. Car le nanomonde n'est pas juste un monde en réduction, c'est un tout autre univers, aux lois bien différentes de celles qui règnent ici-bas.


D'étranges propriétés :
Forces et réactions sont amplifiées
Ces nanoparticules sont composées de 500 atomes environ, dont la moitié se trouve sur leur surface. Elles offrent donc une possibilité accrue de participer à des espèces extérieures, ces réactions se produisant à la surface de l'objet. par ailleurs, malgré leur taille imposante pour le nanomonde, ces particules sont supportées pas un bras d'apparence bien frêle; Mais, de la même manière qu'une fourmi peut porter plusieurs fois son poids, à l'échelle nano, les forces sont démultipliées. 
Sous tension, les liquide se changent en gelée
Du fait des interactions moléculaires,un liquide a tendance à minimiser sa surface. A notre échelle, contraint par la gravité, il présente une interface plane et horizontale. Mais dans le nanomonde, l'effet de la gravitation s'amoindrit et les liquides sont soumis à une force appelée "tension de surface". Conséquence, une goutte prend une forme, qui, tenant compte des contraintes de l'environnement, s'approche le plus de la sphère (forme qui, pouur un volume donné, a la plus petite surface). Elle prend par ailleurs, pour le nana-objet qui voudrait la pénétrer, la consistance d'une gelée, à cause des forces qui relient chaque molécule à ses voisines.
Les forces de Van Der Waals supplante la gravité
du fait de sa faible masse, une nanoparticule est très peu sensible à la gravité. A l'inverse, elle est soumise, de la part de n'importe quelle surface, à une interaction dite de Van Der Waals, qui a toutes les chances de l'y faire adhérer fortement. Celle-ci s'exerce en effet entre tous les objets. Mais, de portée infinitésimale, cette force ne se manifeste pas à notre échelle. En effet, même mis au contact, deux objets macroscopiques ne se touchent jamais vraiment car leur surface est très accidentée à l'échelle atomique.
L'agitation thermique surexcite les molécules
Loin d'être inerte, le nanomonde est celui du mouvement. En effet, plus il est petit, plus un objet est soumis à l'agitation thermique. Ainsi, alors qu'à température ambiante, une chaise ne bouge pas spontanément, une molécule, si on la laisse faire, se déplace en tous sens à la vitesse de 400 mètres pas seconde. Si bien qu'une nanoparticule, plongée dans un liquide ou un gaz, est soumise à d'innombrables chocs et se déplace de façon erratique.
L'effet tunnel déjoue les obstacles
C'est l'une des plus déroutantes bizarreries quantiques. Parce qu'une particule microscopique est aussi une onde, lorsqu'elle se trouve devant un obstacle, elle est aussi un peu derrière cet obstacle. Autrement dit, contrairement à une balle de tennis qui irrémédiablement rebondi contre un mur, une particule quantique peut jouer les passe-muraille et traverser un mur a priori infranchissable. Les physiciens appellent ça "L'EFFET TUNNEL".
La résistance de la toile d'araignée:
En apparence fragile, la toile de soie fabriquée par les araignée est pourtant cinq fois plus résistante qu'un acier de même épaisseur et peut être étirée jusqu'à 40% sans se rompre. Alors qu'elle ne mesure que 25 à 70 micromètres de diamètre et ne pèse que 1.3g/ cm3 ... Ces qualités exceptionnelles, qui permettent à la toile de capturer sans se casser des insectes, voire des petits oiseaux au des chauves-souris pour les toiles des néphiles, des araignées géantes de Madagascar, proviennent de la structures et de la composition du fil. Celui-ci est un cordage constitué de 15 à 20 fils élémentaires enchevêtrés de 50 nm de diamètre. le fil d'araignée est essentiellement composé de spiroïne, un protéine filamenteuse faite de bloc hydrophobes et hydrophiles d'acides aminés. Les premiers donneraient à la soie sa résistance élevée, les seconds son incroyable élasticité.      



La solidité des coquillages:
Avez-vous déjà essayé de casser une coquille d'huître ou de moule? Leur résistance à toute épreuve tient à la structure de la nacre qui les compose. Ce matériau bio-minéral comme les os des vertébrés ou les dent-est constitué à 95% d'aragonite, une forme de carbonate de calcium. Mais la nacre est 3000 fois plus résistante que le minéral dont elle est formée. Le secret de cette solidité réside dans son organisation: la nacre est structurée en feuillets alternant les couches de cristaux de carbonate de calcium et de protéines. Le tout s'organise en un réseau tridimensionnel, des ponts minéraux de quelques dizaines de nanomètres dans la couche de cristallines successives. cette nanostructure bloque la propagation des fissures et confère à l'ensemble une résistance hors pair, dont bénéficient les mollusques bivalves (moules, huîtres, etc), les gastéropodes (escargots, patelles) ou les céphalopodes (nautiles)....

samedi 12 mars 2011

Dix trucs pour renouer avec vous-même

Votre corps ne vous plait vraiment pas ? Vous n’en voyez que les défauts ? Doctissimo vous donne dix trucs pour vous réconcilier avec vous-même.

Les complexes, c’est avant tout dans la tête que cela se passe ! Avant de mettre votre corps entre les mains d’un chirurgien, essayez de suivre ces quelques conseils :


Vous êtes belle ! …ou beau !

Acceptez votre physique et surtout aimez-vous ! Depuis quand ne pas correspondre aux critères décidés par une poignée de producteurs Hollywoodiens ne fait pas de vous quelqu'un de séduisant ? Cela ne vous empêche pas d’avoir un conjoint, des amis qui vous apprécient ! Oubliez ce nez que vous trouvez trop grand : tout le monde dit que vous avez de beaux yeux !

Pas d'apitoiements inutiles

N'attribuez pas tous vos ennuis à vos complexes. Ce n'est pas votre cellulite qui vous a fait perdre votre emploi ! Et si c'est le cas, c'est tant mieux : des gens qui ne savent pas voir vos qualités et s’arrêtent à de faux prétextes ne vous méritent pas ! Et surtout arrêtez de vous dire que vous êtes trop ceci ou pas assez cela… A force de vous le répéter, vous aller finir par le croire !

Servez-vous de votre langue !

Confiez-vous ! Parlez à quelqu’un en qui vous avez toute confiance. Demandez-lui un avis honnête. S’il vous reconnaît ce défaut, ce n’est peut-être pas un si bon ami que ça… ou il est trop honnête.

Echangez vos défauts !

Demandez à vos amis s’ils ont un défaut qu’ils aimeraient corriger… Vous verrez : tout le monde a quelque chose à se reprocher ! Et tout le monde vit très bien comme ça !

Allongez-vous sur le divan…

Si vos complexes vous gâchent réellement la vie, n’hésitez pas à consulter un spécialiste. Un psychologue ou psychiatre peut vous aider à reprendre confiance en vous.

Choisissez vos amis

Sachez vous entourer de personnes qui vous aiment vraiment, pour vous. Évitez ceux qui ont la critique facile et qui ne cherchent qu’à vous rabaisser. Au besoin, faites-vous de nouveaux amis… Les bonnes copines qui vous balancent un "tu n’aurais pas un peu grossi" sont-elles vraiment vos amies ?

Comptez vos qualités

Faites une liste de toutes vos qualités : humour, honnêteté, efficacité… Vous verrez que vous êtes vraiment quelqu’un de bien ! Au besoin, rangez cette liste à portée de main pour la consulter en cas de grosse déprime.

Arrêtez de vous peser !

Arrêtez de vouloir maigrir ! Voulez-vous réellement ressembler à un mannequin anorexique ? Vous êtes certainement d’un poids parfait (pour vérifier, calculer sur notre site votre Indice de Masse Corporelle). Si ce n’est pas tout à fait le cas, entamez un régime sérieux, aidé d’un nutritionniste.

Renouez avec votre corps !

Retrouvez les sensations et faites-vous plaisir. N’hésitez pas à aller au hammam (vous verrez que personne n’est parfait) et faites-vous une séance de massages. N’hésitez pas à faire de bon repas de temps en temps.

Une nouvelle garde-robe

Essayez de vous mettre sur votre trente et un tout au long de l’année. Si vous ne choisissez pas des vêtements qui vous vont et qui vous mettent en valeur, comment voulez-vous vous apprécier ? Jetez sans pitié tout ce qui vous transforme en sac et faites la tournée des magasins, en optant pour des couleurs gaies.

Redescendez sur Terre !

Soyez réaliste ! Arrêtez de vous comparez aux stars des magazines ! Regardez les êtres humains "normaux" autour de vous ! Les gens réels n’ont-ils pas une beauté plus "vraie" ?

vendredi 11 mars 2011

Blessure

Blessure 


Comment tu as réussi à oublier
Puisque je me souviens encore ?
Suis-je une stupide avec un tablier
Ai-je vraiment tord ?
Quand j’ai crus à tes beaux mots
Que tu avais l’habitude de verser sur mon âme comme des flots
Des mots que j’ai appris par cœur
Comme si je vais les chanter en chœur
Tes mots que tu m’as fait croire
En même temps que tu m’as laissé choir
Ce sont tes mots que je déteste maintenant
Mais, qui m’ont attiré comme des aimants 
Ils étaient des mots d’amour
Mais qui savent trahir à leur tour
Des mots de tendresse
Mais … qui blessent
Des mots qui m’ont fait sortir de ma chrysalide 
Et sans eus je me trouve maintenant dans le vide
Ils étaient des mots de rêve
Pour lesquels mon cœur à ce moment et en grève
…..
Ils étaient que des mots
Mais ce sont la vrai cause de mes maux.

Par Maryem Mrghich 

 

Dassault Super-Etendard



Historique du Dassault Super-Etendard

Conçu à partir de l'Étendard IV, le Super-Étendard effectua son vol initial en octobre 1974 et entra en service en juin 1978. Comparé à l'Étendard, cet appareil se caractérise par un réacteur plus puissant, des dispositifs hypersustentateurs améliorés, une structure renforcée, un système de navigation et d'attaque perfectionné comprenant un radar multimode Agave, un système de navigation inertielle et une nacelle de contre-mesures électroniques.

Le Super-Étendard peut être armé du missile antinavire AM.39 Exocet, utilisé au combat par l'Argentine et l'Irak. Sur les 71 machines servant au sein des flottilles 11F, 14F et 17F, une cinquantaine ont été transformées en vue d'emporter le missile nucléaire ASMP. Ces avions ont été dotés d'une nouvelle centrale de navigation inertielle et d'un nouveau radar multimode Anémone.



Une version modernisé, avec un cellule modifiée et une avionique mise à jour, vola en octobre 1990. La modernisation de 54 Super-Étendard débuta en 1992 et porte ainsi la fin de service du Super-Étendard à 2008.

 Fiche d'identité


Nom / Surnom                   : Super-Etendard

Année de mise en service    : 1978
Pays d'origine                     : France
Constructeur                      : Avions Marcel Dassault
Rôle                                  : Chasseur embarqué.





mercredi 9 mars 2011

Diabète et vie quotidienne et sociale

Un diabétique peut-il vivre "normalement" voire "sereinement"? Peut-il exercer tous les métiers, pratiquer un sport, passer son permis de conduire ?


Oui, à condition de bien contrôler sa glycémie, de savoir gérer ses hypoglycémies, de s’abstenir de fumer, de traiter immédiatement les infections, d’éviter l'alcool, de suivre son régime, de faire du sport, de prendre soin de ses pieds et de ses dents, de faire surveiller ses yeux et ses reins, de faire vérifier urine, sang et pression sanguine par son médecin, de se renseigner sur les nouveaux développements concernant le diabète... Cela semble beaucoup, mais ce sont ces principes de bon sens et de précaution qui permettent au diabétique d’être autonome et responsable, de mener la vie la plus normale possible, et de prévoir l'avenir sereinement.

Pour maintenir ce cap, les conseils et les astuces prodigués par les associations constituent une aide précieuse : recettes pour bien manger malgré un régime restrictif en sucre, décryptage d’une étiquette alimentaire, sports recommandés, adaptation du traitement en cas de grippe, de repas excessif, d’activité physique, d’hypoglycémie, de voyages ou de vacances, droits des diabétiques face au monde du travail, des assurances, de l’école...Conserver une activité professionnelle

Bien heureusement, la maladie n’empêche pas d’avoir une activité professionnelle. Le métier choisi doit simplement être compatible avec l’état de santé du diabétique. C’est le médecin du travail qui se prononce sur l’aptitude du diabétique à un poste donné et il est tenu au secret médical. Il n’est pas toujours judicieux de dire à son futur employeur que l’on est diabétique. Pour prévenir d’éventuels préjudices du fait de leur état de santé, les diabétiques doivent connaître leurs droits. Ils peuvent pour cela s’adresser aux associations. L’AFD (Association Française des Diabétique) a par exemple développé un service juridique qui conseille les diabétiques adhérents et défend leurs intérêts devant les tribunaux.

Faire du sport

L’activité physique fait partie du traitement de la maladie. Elle augmente l'utilisation du sucre par les muscles, aide le corps à mieux répondre à l'action de l'insuline, et diminue les facteurs de risque pour les maladies cardiovasculaires, les crises cardiaques, la paralysie ou la gangrène du pied. Le sport est aussi facteur d’intégration sociale (surtout pour les jeunes) et contribue au bien-être psychologique. Certains diabétiques sont parvenus à être des sportifs de haut niveau ou des globes-trotteurs impénitents et il est salutaire de lire leur témoignage.

Conduire

Un diabétique qui veut passer son permis de conduire doit déclarer sa maladie et passer par une commission médicale qui détermine la durée de validité du permis (de 6 mois à 5 ans) en fonction de son état oculaire et cardiovasculaire. Les permis poids lourd, transport en commun, taxi et ramassage scolaire ne peuvent pas être obtenus par les diabétiques insulino-dépendants.

En conclusion

Le diabète est de nos jours un trouble chronique pouvant se maîtriser. Tout diabétique doit bien comprendre la nature de sa maladie pour pouvoir adopter un mode de vie sain et savoir atténuer le stress quotidien qu’elle engendre.

Quand la déprime fait mal


Près de 8 % des Français souffrent de dépression chaque année. Idées noires, tristesse, fatigue… les signes de cette maladie sont connus. Pourtant, il existe des avertissements que l’on connaît moins : les douleurs. Maux de tête, problèmes de dos, difficultés intestinales… Ces appels du corps traduisent parfois un mal-être profond. Les détails de cette souffrance psychique.


Parmi les symptômes de la dépression, l’un d’eux est souvent oublié : la douleur.

La dépression, un mal répandu

121 millions de personnes souffrent de dépression à travers le monde. Cette maladie devrait passer en 2020 au 2e rang des maladies les plus handicapantes. En France, le Baromètre Santé 2005 de l’Institut national de prévention et d’éducation santé (Inpes) montre que 7,8 % des Français ont souffert d’une dépression dans l’année. Une femme sur dix a connu cette maladie. Et moins d’un Français dépressif sur deux a consulté pour un trouble lié à une maladie mentale.

Reconnaître les signes de dépression

Il est essentiel de reconnaître tôt les signes de la dépression, pour bénéficier de la prise en charge la plus précoce possible. Mais le problème est d’identifier les premiers signes de cette maladie (lire notre article Dépression, des signes qui ne trompent pas). Car 35 à 50 % des épisodes dépressifs majeurs ne sont pas diagnostiqués. Pourtant, on connaît les signes psychiques de ce mal-être : tristesse, perte de plaisir… ou les symptômes physiques : fatigue, troubles du sommeil…

La douleur : un symptôme de dépression

Or parmi les signes que l'on oublie de citer, certaines douleurs peuvent être les marqueurs de l'état dépressif. Elles seraient ainsi présentes dans près de 70 % des cas de dépression. Ce sont essentiellement les maux de tête, le mal de dos, les troubles intestinaux. Certes, il faut distinguer les douleurs chroniques, dont la répétition peut dans ce cas être l'origine et non la cause d'un syndrome dépressif.

Traiter la dépression et la douleur physique



Les traitements de la dépression "classique" est aujourd'hui bien codifié : il s'agit de l'association d'antidépresseurs avec un suivi psychothérapeutique. Mais il semble plus difficile de soigner les dépressions qui ont une composante douloureuse : la guérison est plus lente et les traitements semblent un peu moins efficaces. L'approche de cette forme nécessite donc une prise en charge spécifique de la douleur, en plus du traitement de la maladie dépressive. Ainsi, la prise d'antalgiques est parfois nécessaires. Mais il ne s'agit pas forcément d'ajouter un traitement : des études ont montré que certains antidépresseurs avaient également un effet plus prononcé que d'autres sur les douleurs liées à la dépression.

Quelle que soit la stratégie choisie, une chose est sûre : en s’attaquant à la fois à la dépression et à la douleur, il est possible de sortir de ce cercle infernal pour retrouver le sourire.

Le préservatif féminin


En vente depuis le début des années 1990 dans plusieurs pays européens et aux Etats-Unis, le préservatif féminin est disponible en France depuis le deuxième trimestre de l'année 2000. Ce nouvel outil de contraception protège également des maladies sexuellement transmissibles (MST). Sans latex, utilisable avec des lubrifiants, il peut "rester" en place longtemps avant et après le rapport...


Le préservatif féminin est en fait une sorte de gaine munie d’un anneau souple à chaque extrémité. L’anneau intérieur, situé du côté fermé, sert à l’insertion et au maintien du préservatif. L’anneau extérieur, plus grand, recouvre les organes génitaux externes. Le préservatif mesure 170 millimètres de long sur 78 mm de diamètre. En polyuréthanne, il est plus fin mais néanmoins plus résistant que le latex utilisé pour le préservatif masculin. Il est lubrifié et à usage unique.

Est-il efficace ?

Le préservatif féminin n’est disponible en France que depuis peu. Outre un problème de définition des normes de sécurité, ce retard sur le marché français est du à l’attente par le Gouvernement des résultats d’études poussées sur sa fiabilité en tant que méthode de contraception et de protection contre les MST. Le préservatif féminin a d’ailleurs passé ces tests avec succès : 99,2 % d’efficacité contraceptive pour une utilisation systématique et correcte, barrière efficace contre les agents responsables des MST (virus de l’herpès, virus de l’hépatite B, virus du sida…).

Où le trouver ?

Afin de le rendre plus accessible, son fabricant le vend quasiment à prix coûtant, soit six francs environ. Chez certains distributeurs, vous pouvez donc le trouver à ce prix ; ailleurs le prix de vente unitaire est d’environ dix francs. Pour l’instant, il est disponible dans un grand nombre de plannings familiaux mais dans quelques dizaines de pharmacies seulement. Certains médecins peuvent également le proposer.

Mode d’emploi :

Pour placer le préservatif féminin, il faut être dans une position confortable (assise, couchée ou debout avec un pied posé sur une chaise). En sortant le préservatif, évitez de le déchirer avec les ongles ou des bagues. Pressez ensuite l’anneau intérieur entre le pouce et l’index et insérez le dans le vagin le plus loin possible. Placez ensuite l’index à l’intérieur du préservatif, afin de pousser l’anneau intérieur jusqu’au fond. L’anneau externe doit rester en dehors du vagin. Le préservatif est en place. Lors du rapport, il faut juste vérifier que le pénis entre bien dans le préservatif. Pour le retirer, tournez l’anneau extérieur afin de le fermer (pour empêcher le sperme de couler). Il suffit alors de tirer doucement pour enlever le préservatif.

samedi 5 mars 2011

Nokia Morph : nanotechnologies pour téléphone mobile

A l'occasion de l'exposition intitulée « Design and the Elastic Mind », le centre de recherche de Nokia et l'université de Cambridge se sont associés pour présenter « Morph ».
Il s'agit d'un concept de mobile qui met en exergue les dernières fonctionnalités que la nanotechnologie est en mesure d'offrir : des matériaux flexibles, des composants électroniques transparents et des surfaces autonettoyantes. Bien évidemment, aucun prototype fonctionnel de ce terminal n'a été dévoilé, ce concept n'ayant pour seul et unique but que de montrer la faisabilité technique des matériaux qui pourraient être utilisés à terme dans les mobiles d'ici quelques années.

Tapani Ryhänen, le directeur du laboratoire NRC Cambridge au Royaume-Uni précise au sujet de Morph que « nous espérons que cette association de l'art et des sciences présentera judicieusement le potentiel de la nanoscience auprès d'un public le plus large possible. Les techniques que nous développons pourraient se traduire un jour par de nouvelles possibilités en termes de conception et de fonctionnement des appareils mobiles ».

A noter que ce n'est pas le premier concept de mobile développé pour tout ou partie par Nokia, le Finlandais travaillant déjà sur « Remade », un mobile entièrement recyclé ou sur « Eco Sensor », un mobile écolo.